Úryvok.
Romain Rolland
Jean-Christophe
Dans une nuit d’orage, au milieu des montagnes, sous la voute de feu des éclairs, parmi les sauvages grondements de la foudre et des vents, je pense á ceux qui sont morts et á ceux qui mourront, á cette terre toute entiére, que le vide enveloppe, qui roule au sein de la mort, et qui mourra bientôt. A tout ce qui est mortel j’offre ce livre mortel, dont la voix cherche á dire:
« Fréres, rapprochons-nous, oublions ce qui nous sépare, ne songeons qu’á la misére commune oú nous sommes confondus! Il n’y a pas d’ennemis, il n’y a pas de méchants, il n’ya que des misérables; et le seul bonheur durable est de nous comprendre mutuellement pour nous aimer: – intelligence, amour, – seul éclair de lumiére qui baigne notre nuit, entre les deux abîmes, avant, aprés la vie. »
A tout ce qui est mortel – á la mort qui égalise et pacifie, – á la mer inconnue oú se perdent les ruisseaux innombrable de la vie, j’offre mon oeuvre et moi.
Morschach, aout 1901
Návrat na esej Hudba a náboženstvo.
Jedna odpoveď na “Romain Rolland – Jean-Christophe”
[…] o tom, aký pohľad na svet, život a človeka asi sprostredkuje Beethovenova hudba, vybral som a z francúzštiny preložil prvý úvod (venovanie) k románu Jean-Christophe, ktorý však napokon autor […]